La traductrice et l’escroc

Une longue et laborieuse discussion s’engagea. La traductrice prit le temps d’éduquer l’intermédiaire sur les pratiques usuelles de son métier, obtenant rapidement une réévaluation de sa rémunération prenant en compte celle d’une consœur de confiance qui assurerait la révision. Elle parvint également à limiter le nombre d’articles qu’elle traduirait afin de ne pas s’enfermer dans le modèle de client unique qui l’avaient desservie par le passé. L’espoir d’une collaboration fructueuse revenait à mesure que la négociation progressait.